Force est de constater qu’aujourd’hui beaucoup de personnes rencontrent d’énormes problèmes de santé et perdent ainsi leur joie de vivre. Celles-ci sont donc obligées d’adopter certains médicaments pour être soulagées ou guéries. C’est le cas des antiinflammatoires non stéroïdiens qui sont utilisés pour le traitement de certains maux. Cet article vous mène à la découverte des anti-inflammatoires non stéroïdiens.
Sommaire
Qu’est-ce que les anti-inflammatoires non stéroïdiens ?
Abrégés en AINS, les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont des médicaments utilisés pour être soulagé de la douleur et la fièvre. Ils sont également utilisés pour réduire, prévenir ou contenir les manifestations inflammatoires. C’est à juste titre que les AINS sont utilisés dans le traitement du rhume, des dysménorrhées et des coliques néphrétiques. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent être pris par voie orale, injectable et rectale. Il en existe aussi sous forme de pommade ou de crème pour la peau.
Les contres indications des anti-inflammatoires non stéroïdiens
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont d’une efficacité totale et indéniable. Malgré cela, vous ne devez pas les prendre dans certains cas ou conditions afin d’éviter d’autres complications. Ainsi, évitez de prendre les anti-inflammatoires non stéroïdiens :
. en cas de maladie du foie :
. en cas d’ulcère de l’estomac ou du duodénum :
. en cas d’insuffisance rénale et d’insuffisance cardiaque :
. en cas d’allaitement et de pathologies hémorragiques ;
. en cas de grippe et de varicelle chez l’enfant et l’adulte.
Notez par ailleurs que les AINS sont aussi déconseillés aux femmes enceintes dès le 6ᵉ mois. Pour les patients soumis à un traitement anticoagulant ou à un programme alimentaire strict, il faut surveiller l’apparition d’une symptomatologie digestive et en cas d’hémorragie gastro-intestinale il faut interrompre immédiatement le traitement.
Les effets indésirables des anti-inflammatoires non stéroïdiens
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent avoir de graves conséquences sur votre santé physique lorsque vous faites un traitement prolongé. Encore plus, si vous souffrez de certaines maladies. Ainsi, l’utilisation excessive des AINS peut conduire principalement à l’ulcère chronique, aux maladies cardiovasculaires, à l’insuffisance rénale ainsi que la nausée.
Ulcère chronique
Si vous étiez à l’étape primaire de l’ulcère, sachez que vous aurez maintenant des brûlures d’estomacs assez fortes et incommodantes. Cela peut même conduire à l’anémie et à l’atteinte des intestins grêles.
Maladies cardiovasculaires
En cas de surdosage, il peut y avoir une élévation de la pression artérielle. Ceci peut entrainer une hypertension artérielle. Il est donc déconseillé de prendre les anti-inflammatoires non stéroïdiens sur une longue période.
Insuffisance rénale
Même si cela est rare, la prise chronique des anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent entrainer l’insuffisance rénale. Les risques sont encore plus élevés lorsque vous souffrez d’insuffisance cardiaque, syndrome néphrotique ….
Nausée
Vous aurez souvent du dégout et des envies répétés de vomissement.
Des exemples d’anti-inflammatoires non stéroïdiens
Au nombre des anti-inflammatoires non stéroïdiens, nous pouvons citer entre autres :
. l’acide acétylsalicylique et acétylsalicylate de lysine (aspirine, salicylate de méthyle et diflunisal) ;
. les érivés arylacétiques (diclofénac et ses sels (Na, K)) ;
. les acides 2-arylpropioniques (profane) ;
. le kétoprofène ;
. le kétum.
En conclusion, on retient que les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont très efficaces pour soulager d’une douleur, u rhume et la fièvre. Toutefois, ils sont aussi néfastes pour la santé en cas de prise chronique, de non-respect de certaines conditions et autres maladies.
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